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Dans la vie moderne, la position assise prolongée est devenue monnaie courante : les employés de bureau passent 6 à 8 heures par jour à leur bureau, les télétravailleurs alternent entre le canapé et la table à manger, et les étudiants suivent de longs cours. Or, les chaises ordinaires ne soutiennent souvent pas correctement le corps, ce qui entraîne des douleurs lombaires, des raideurs cervicales, voire des problèmes de dos chroniques à long terme. La chaise de bureau ergonomique Newtral , conçue pour s’adapter à la physiologie humaine, représente une solution essentielle à ces problèmes. Nous allons explorer ci-dessous les caractéristiques d’une chaise ergonomique, ses principales applications pratiques et comment en optimiser l’utilisation.
Qu'est-ce qui rend une chaise ergonomique ?
Une chaise véritablement ergonomique ne se résume pas à un simple produit étiqueté : elle doit répondre à trois critères essentiels : l’alignement avec le système musculo-squelettique humain, l’adaptabilité à différents utilisateurs et le confort d’une position assise prolongée. Ces critères garantissent la protection de la santé tout en assurant une utilisation optimale.
Alignement avec la structure musculo-squelettique humaine
Le corps humain, avec ses os et ses muscles, forme un système précis ; un mauvais soutien peut engendrer des dommages invisibles. Les chaises ergonomiques privilégient l’adaptation à la morphologie plutôt que l’inverse.
Respect de la courbure vertébrale : La colonne vertébrale présente trois courbures naturelles : cervicale (convexe vers l’avant), thoracique (convexe vers l’arrière) et lombaire (convexe vers l’avant). Le dossier d’une chaise ergonomique de qualité épouse cette forme en S : la zone cervicale soutient délicatement la tête pour éviter de pencher la tête en avant, la zone thoracique épouse la forme du haut du dos pour prévenir le dos voûté, et la zone lombaire est légèrement surélevée pour combler l’espace entre le bas du dos et le dossier. Des études montrent que cette conception réduit la pression lombaire de 30 à 50 % par rapport aux chaises traditionnelles, prévenant ainsi les hernies discales.
Adaptation aux mouvements des membres : Pour les bras, les accoudoirs doivent maintenir les coudes fléchis à 90°, afin de détendre les épaules. Pour les jambes, la hauteur d’assise doit permettre aux pieds de reposer à plat sur le sol, les genoux formant un angle de 90°, évitant ainsi toute pression à l’arrière des cuisses. Pour les hanches, la profondeur d’assise doit laisser un espace de 2 à 3 cm entre l’arrière des genoux et le bord du siège, afin de prévenir toute compression des hanches et une mauvaise circulation sanguine. Ces détails permettent aux membres de bouger naturellement et sans contrainte.

Adaptabilité aux différents groupes d'utilisateurs
Il n'existe pas de chaise qui convienne à tout le monde ; la possibilité d'ajustement est essentielle à l'ergonomie.
Adaptation aux différentes tailles : Les besoins d’une personne mesurant 150 cm et d’une autre mesurant 190 cm sont très différents. Les chaises ergonomiques offrent généralement un réglage de la hauteur d’assise de 45 à 55 cm, du dossier de 60 à 80 cm et de l’appui-tête de 10 à 15 cm. Pour les enfants ou les personnes de taille particulière, des accessoires comme des repose-pieds ou des dossiers plus longs assurent un bon maintien. Adaptation aux différentes morphologies : Les personnes de forte corpulence (plus de 100 kg) ont besoin de chaises supportant une charge supérieure à 120 kg et offrant une largeur d’assise d’au moins 50 cm pour un confort optimal. Les personnes minces apprécient un soutien lombaire réglable : un soutien trop ferme est inconfortable, un soutien trop mou n’offre aucun maintien. Les coussins d’assise en mousse haute densité ou en maille à bonne résilience conviennent à toutes les morphologies et répartissent la pression uniformément sans s’affaisser.
Privilégier le confort en position assise prolongée
Les chaises traditionnelles offrent un confort optimal pendant une à deux heures, mais peuvent engendrer de la fatigue par la suite. Les chaises ergonomiques sont conçues pour une utilisation prolongée, de quatre à huit heures.
Réduction des points de pression localisés : Les hanches supportent la majeure partie du poids du corps, l’arrière des cuisses appuie contre le bord du siège et les épaules sont mises à rude épreuve par la position des bras. Les chaises ergonomiques remédient à ces problèmes grâce à des bords d’assise en forme de cascade (réduisant la pression sur les cuisses), des surfaces d’assise légèrement incurvées (répartissant la pression sur les hanches) et des accoudoirs stables (diminuant la charge sur les épaules) — fini les douleurs localisées.
Maintenir une bonne posture sans fatigue musculaire : Adopter une bonne posture exige un effort musculaire ; sans soutien, les muscles se fatiguent rapidement. Les chaises ergonomiques y remédient : le dossier soutient la colonne vertébrale, l’appui-tête maintient la tête et les accoudoirs soutiennent les bras. Les muscles restent détendus, même en position assise prolongée.
Quelles sont les caractéristiques d'une chaise ergonomique ?
Les avantages des chaises ergonomiques proviennent de caractéristiques tangibles, réparties en catégories structurelles, fonctionnelles et de sécurité des matériaux, formant ensemble un « système complet de confort et de santé ».

Caractéristiques structurelles fondamentales
Ce sont les éléments fondamentaux du confort et du soutien, axés sur le soutien lombaire, les coussins d'assise et les dossiers.
Soutien lombaire : élément essentiel du siège, il nécessite trois réglages : hauteur (5 à 10 cm pour s’adapter à différentes positions lombaires), profondeur (2 à 3 cm pour compenser les creux au niveau de la taille) et 3 à 5 niveaux de fermeté (selon les préférences). Par exemple, les employés de bureau privilégieront une fermeté moyenne, tandis que les personnes souffrant de maux de dos auront besoin d’un soutien plus souple.
Coussin d'assise : Le matériau, l'épaisseur et la forme sont essentiels. Le tissu en maille est respirant et évite la transpiration au niveau des hanches ; la mousse haute densité (plus de 40 kg/m³) est durable et résistante. L'épaisseur idéale est de 8 à 12 cm : trop fin, il manque de soutien ; trop épais, il provoque un affaissement. Le bord avant incurvé est indispensable pour éviter toute pression sur les cuisses.
Dossier : Il doit épouser la courbure naturelle de la colonne vertébrale. L’angle d’inclinaison (90-135°) permet d’alterner entre travail (90°), détente (110-120°) et sieste (135°). Le réglage de la tension d’inclinaison s’adapte au poids : les personnes plus corpulentes nécessitent une tension plus élevée pour éviter un basculement brusque. Le réglage en hauteur du dossier (10-15 cm) assure un soutien optimal du haut du dos.
Fonctions de réglage
Ces éléments déterminent l'adaptabilité, permettant ainsi au fauteuil de s'adapter aux utilisateurs et non l'inverse.
Réglage de la hauteur : Les élévateurs pneumatiques (à gaz) sont de série — sûrs, stables et faciles à utiliser. Il suffit d’appuyer sur la poignée sous le siège pour régler la hauteur, convenant ainsi aux personnes mesurant entre 150 et 190 cm. Les élévateurs certifiés (BIFMA/EN 1335) préviennent les fuites et les éclatements de gaz.
Réglage des accoudoirs : Le réglage en trois points est essentiel : hauteur (5 à 10 cm, pour s’adapter à la longueur des bras), largeur (3 à 5 cm, pour s’adapter à la largeur des épaules) et inclinaison (0 à 30°, pour s’adapter à la frappe ou au repos). Les modèles haut de gamme offrent un réglage avant-arrière et un meilleur soutien des avant-bras.
Fonction d'inclinaison : 3 à 5 positions verrouillables empêchent l'inclinaison libre. Par exemple, un verrouillage à 90° permet de se concentrer sur un travail, et à 120° de lire, réduisant ainsi les raideurs musculaires liées aux postures fixes.
Matériaux et caractéristiques de sécurité
Ces mesures garantissent la durabilité et la sécurité, évitant ainsi une durée de vie courte ou des risques pour la santé.
Tissus respirants : Le tissu mesh (fibre de polyester) est idéal : respirant, résistant à l’usure et indéformable. Le tissu (lin/coton) est doux mais nécessite un entretien régulier. Le cuir (véritable ou synthétique) est haut de gamme mais peu respirant en cas de forte chaleur prolongée.
Base stable : Les bases en étoile à cinq branches (nylon ou alliage d’aluminium) empêchent tout basculement. Le nylon est léger et résistant à la corrosion ; l’alliage d’aluminium est plus robuste. Cinq roulettes en caoutchouc souple se déplacent en douceur sans rayer les sols ni faire de bruit.
Certifications de sécurité : Recherchez les certifications BIFMA (États-Unis) ou EN 1335 (Europe) ; elles testent la résistance à la charge (100 000 pressions sur l’assise), la durabilité (50 000 inclinaisons du dossier) et la sécurité du système de levage (tests à haute température). Évitez les chaises « pseudo-ergonomiques » sans certification.
À quoi sert une chaise ergonomique ?
Les chaises ergonomiques ne sont pas réservées aux bureaux ; elles conviennent à toutes les situations nécessitant de rester assis longtemps, préservant ainsi la santé et améliorant l’efficacité.
Application dans des scénarios de bureau
Les bureaux constituent leur principal cas d'utilisation, car les travailleurs y passent des heures assis chaque jour.
Soutien optimal pour le travail de bureau prolongé : Pour les programmeurs qui déboguent du code ou les rédacteurs qui écrivent des articles, le soutien ciblé de ce siège réduit la fatigue lombaire et cervicale. Les personnes travaillant de longues heures peuvent incliner le dossier jusqu’à 110° pour soulager la fatigue oculaire.
Amélioration de l'efficacité au travail : L'inconfort est source de distraction — les douleurs dorsales ou les engourdissements des jambes obligent à des pauses fréquentes. Les chaises ergonomiques minimisent cet inconfort, permettant aux utilisateurs de se concentrer pendant 2 à 3 heures d'affilée. Des études montrent que les entreprises utilisant des chaises ergonomiques constatent une augmentation de 15 à 20 % de leur efficacité et une réduction de 25 à 30 % de l'absentéisme lié aux troubles musculo-squelettiques.
Application dans des scénarios domestiques
Le télétravail et l'apprentissage en ligne transforment les maisons en « seconds bureaux », augmentant ainsi la demande de chaises ergonomiques adaptées à un usage domestique.
Utilisation au bureau à domicile : Les modèles compacts (dossiers étroits, accoudoirs rabattables) permettent un gain de place. Les chaises en maille claire s’harmonisent avec un décor moderne, tandis que les chaises en tissu conviennent aux styles plus chaleureux : fonctionnalité et esthétique se conjuguent harmonieusement.
Loisirs et divertissement : Les joueurs qui passent 3 à 4 heures assis apprécient l’inclinaison à 135° et les coussins lombaires. Les lecteurs, quant à eux, ajustent leur dossier à 120° pour plus de confort. Certains modèles intègrent un éclairage LED pour une ambiance gaming, alliant détente et soutien.
Application dans des scénarios spécialisés
Ils répondent également à des besoins spécifiques, en fournissant un soutien ciblé.
Médical et réadaptation : Pour les patients souffrant de problèmes de colonne vertébrale ou les utilisateurs en post-opératoire, les chaises sont dotées d'un support lombaire rigide pour maintenir une posture neutre, de coussins d'assise soulageant la pression et de réglages télécommandés — recommandés par les médecins pour la convalescence.
Établissements scolaires : Les élèves passent de longues heures assis en classe ; leur squelette en développement a besoin d’être protégé. Les chaises scolaires ergonomiques sont dotées de dossiers et de hauteurs réglables, de matériaux non toxiques et d’un soutien lombaire transparent pour prévenir la scoliose ou la myopie.
Avantages des chaises ergonomiques
Comparés aux chaises traditionnelles, les modèles ergonomiques excellent en matière de santé, de fonctionnalité et d'expérience, justifiant ainsi leur coût.
Avantages physiologiques pour la santé
Prévention des problèmes de colonne vertébrale : Les chaises ergonomiques réduisent les risques de hernie discale, de scoliose et de lombalgie en préservant les courbures naturelles de la colonne vertébrale. L’Association américaine de chiropratique a constaté une réduction de 40 % du risque de hernie discale lombaire et de 35 % du risque de scoliose chez les adolescents grâce à leur utilisation.
Soulagement des tensions musculaires : Les douleurs au cou, aux épaules et au dos s'atténuent grâce au soutien musculaire offert par la chaise, évitant ainsi les tensions dues à une mauvaise posture.
Amélioration de la circulation : Les sièges en cascade et la répartition uniforme de la pression préviennent l'engourdissement des jambes et les varices en réduisant la compression vasculaire des hanches et des cuisses.
Avantages fonctionnels et liés à l'expérience
Confort longue durée : 4 à 8 heures en position assise sans fatigue importante, grâce à des matériaux respirants et un soutien ciblé – idéal pour les longues journées de travail.
Expérience personnalisable : De multiples réglages s'adaptent aux habitudes individuelles : les adeptes du dossier incliné peuvent s'incliner jusqu'à 110°, les utilisateurs aux épaules larges peuvent élargir les accoudoirs.
Durabilité : Les matériaux de haute qualité (élévateurs BIFMA, mousse haute densité) ont une durée de vie de 5 à 10 ans, contre 2 à 3 ans pour les chaises traditionnelles. Le coût annuel est similaire, mais la valeur est supérieure.
Avantages en matière de productivité et de psychologie
Réduire les interruptions : Moins de pauses dues à l'inconfort signifie un travail continu — les programmeurs déboguent plus longtemps, les rédacteurs terminent leurs articles plus rapidement.
Amélioration de l'humeur : Le confort physique améliore l'état mental. L'Université du Michigan a constaté une augmentation de 20 % de la satisfaction au travail et une diminution de l'anxiété et de la dépression chez les utilisateurs de chaises ergonomiques.

Inconvénients des chaises ergonomiques
Les chaises ergonomiques présentent des inconvénients à prendre en compte avant l'achat, principalement en termes de coût, d'adaptation et de qualité sur le marché.
Inconvénients liés aux coûts
- Investissement initial plus élevé : les modèles de base coûtent entre 200 et 500 $, les modèles haut de gamme plus de 1 000 $, contre 30 à 150 $ pour les chaises traditionnelles. Cependant, leur longue durée de vie rend le coût annuel similaire ; il s’agit d’un investissement pour votre santé.
- Entretien supplémentaire : Les roulettes (10-30) s’usent en 3 à 5 ans, les élévateurs (30-50) présentent des fuites en 5 à 8 ans et la grille (50-100) peut se déchirer. Les coûts sont faibles mais prévisibles.
Inconvénients liés à l'utilisation et à l'adaptation
- Courbe d'apprentissage : La présence de plusieurs boutons (hauteur, inclinaison, accoudoirs) nécessite la lecture du manuel, ce qui peut s'avérer difficile pour les personnes âgées ou les novices en technologie. L'adaptation prend 1 à 3 jours.
- Encombrement requis : Les modèles plus grands (dossier de plus de 80 cm, base de plus de 60 cm de rayon) nécessitent des pièces spacieuses. Les petits bureaux à domicile peuvent se contenter de modèles compacts.
- Surdimensionnement pour les courtes durées d'utilisation : Pour des utilisations de 10 à 15 minutes (repas, attente), les chaises traditionnelles sont plus pratiques ; les modèles ergonomiques sont superflus.
Inconvénients liés à la qualité et au marché
- Qualité inégale sur le marché : les chaises « pseudo-ergonomiques » sont certes équipées de coussins lombaires bon marché, mais dépourvues de réglages ou de dossiers incurvés ; elles sont souvent source d’inconfort. Privilégiez les modèles certifiés et bien notés.
- Styles limités : L'accent mis sur la fonctionnalité signifie moins d'options décoratives — principalement des chaises en maille/tissu noir/gris, contre des chaises traditionnelles de style nordique ou industriel.
Le lien entre les chaises ergonomiques et la santé
La principale valeur des chaises ergonomiques réside dans la protection de la santé : elles préviennent les maladies, soulagent l'inconfort et améliorent le bien-être, avec des liens évidents avec la santé de la colonne vertébrale, des muscles et du métabolisme.

Impact sur la santé de la colonne vertébrale
Le soutien lombaire prévient la dégénérescence : sans soutien, les courbures lombaires s’aplatissent, augmentant la pression sur les disques intervertébraux. Le soutien lombaire des chaises ergonomiques maintient ces courbures, réduisant la pression sur les disques de 30 à 50 % et ralentissant la dégénérescence.
La courbure du dossier maintient une posture neutre : les chaises traditionnelles entraînent une posture voûtée ou penchée ; les dossiers ergonomiques guident une posture neutre en forme de S, évitant ainsi les tensions au niveau de la colonne vertébrale.
Impact sur la santé du système musculaire
Réduction du travail musculaire statique : Les chaises traditionnelles contraignent les muscles à se contracter (maintien de la tête, soutien des bras). Les chaises ergonomiques prennent le relais, réduisant ainsi la charge musculaire et la fatigue.
Prévention des déséquilibres musculaires : Une mauvaise posture assise entraîne des tensions musculaires inégales. Les chaises ergonomiques garantissent une posture symétrique, équilibrant ainsi les tensions musculaires et prévenant l’atrophie ou les douleurs articulaires.
Impact sur la santé métabolique et circulatoire
Amélioration de la circulation sanguine : Une répartition uniforme de la pression réduit la compression vasculaire des hanches et des cuisses, maintenant ainsi la circulation sanguine dans les jambes et prévenant l'engourdissement ou les varices.
Favoriser un métabolisme sain : La fatigue due à une mauvaise posture réduit l’activité physique. Les chaises ergonomiques stimulent l’énergie et encouragent les mouvements après le travail (marche, étirements). Changer de posture (se pencher en arrière) active également le métabolisme musculaire.
Chaises ergonomiques vs chaises traditionnelles : une analyse comparative
Pour comprendre l'intérêt des chaises ergonomiques, comparez-les aux modèles traditionnels en termes de structure, de santé et de coût ; les principales différences sont clairement visibles dans le tableau ci-dessous.
Tableau 1 : Comparaison entre les chaises ergonomiques et les chaises traditionnelles
|
Aspect de comparaison |
Chaises ergonomiques |
Chaises traditionnelles |
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Caractéristiques structurelles |
Dossier incurvé en S, soutien lombaire réglable, bord d'assise en cascade |
Dossier plat, soutien lombaire inexistant ou faible, bord d'assise plat |
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Ajustabilité |
Plus de 5 fonctions (hauteur, inclinaison, accoudoirs, profondeur d'assise) |
Fonction 0-1 (hauteur uniquement, le cas échéant) |
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Impact sur la santé |
Réduit la pression sur la colonne vertébrale de 30 à 50 %, soulage les douleurs musculaires et améliore la circulation sanguine. |
Forte pression sur la colonne vertébrale, douleurs après 1 à 2 heures, mauvaise circulation |
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Durée de confort |
4 à 8 heures de confort |
1 à 2 heures de confort, puis fatigue |
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Durabilité |
5 à 10 ans (matériaux de haute qualité, pièces certifiées) |
2-3 ans (mousse basse densité, bases en plastique) |
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Prix et coût/an |
(200-)1 000+ initial ; (20-)100/an |
(30-)150 initial; (10-)75/an |
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Scénarios appropriés |
Longues périodes assises (au bureau, dans les jeux vidéo, en rééducation) |
Courtes périodes d'attente (repas, attente, repos informel) |
Comparaison structurelle et fonctionnelle
Les chaises ergonomiques sont conçues selon des principes scientifiques (courbes en S, multiples réglages) pour s'adapter à la morphologie ; les chaises traditionnelles sont de taille unique. Par exemple, les accoudoirs ergonomiques s'ajustent aux épaules larges, tandis que les accoudoirs fixes traditionnels peuvent être inconfortables.
Comparaison de la santé et de l'expérience
Les chaises traditionnelles offrent un confort immédiat mais peuvent causer des douleurs à long terme ; les chaises ergonomiques nécessitent un temps d’adaptation de 1 à 3 jours, mais procurent un confort durable. Elles conviennent également à un plus grand nombre d’utilisateurs – grands, petits, minces ou de forte corpulence – tandis que les chaises traditionnelles ne conviennent qu’aux morphologies moyennes.
Comparaison des coûts et de la praticité
Les chaises traditionnelles sont moins chères à l'achat, mais nécessitent un remplacement fréquent ; les chaises ergonomiques représentent un investissement durable. Elles conviennent aux grandes pièces et aux longues périodes d'utilisation, tandis que les chaises traditionnelles sont plus adaptées aux petits espaces et à une utilisation ponctuelle.
Comment choisir une chaise ergonomique
Face à une qualité de marché hétérogène, choisissez judicieusement en évaluant vos besoins, en vérifiant les fonctionnalités et en tenant compte des facteurs pratiques.
Évaluer les besoins et les scénarios personnels
- Précisions d'utilisation : Les chaises de bureau doivent être respirantes et offrir un soutien stable ; les chaises de maison doivent être compactes ; les chaises de jeu doivent s'incliner à 135° ; les chaises de rééducation doivent nécessiter un soutien lombaire rigide (recommandé par les médecins).
- Déterminer la durée d'assise : Les courtes assises (1 à 3 heures) nécessitent des ajustements de base (200 à 300) ; les longues assises (4 heures et plus) nécessitent des ajustements complets (mousse haute densité, accoudoirs 3D, 300 à 800).
- Identification des caractéristiques corporelles : Les utilisateurs de grande taille (plus de 180 cm) ont besoin d'un dossier de plus de 85 cm ; les utilisateurs de grande taille (plus de 100 kg) ont besoin d'une capacité de charge de plus de 120 kg ; les personnes souffrant de maux de dos ont besoin d'une fermeté lombaire réglable.
Priorité aux indicateurs fonctionnels de base
Testez le support lombaire : assurez-vous qu’il offre un réglage en 3 points (hauteur, profondeur, fermeté), qu’il épouse correctement les courbes lombaires et qu’il ne provoque aucune gêne.
Vérifier le confort du siège : Appuyer sur les coussins pour tester leur résilience (rebond rapide = bon), vérifier la respirabilité (la maille doit passer à travers) et sentir la pression sur les cuisses (pas de serrage = bon).
Vérifier les réglages : régler la hauteur/les accoudoirs/l’inclinaison – mouvement fluide, sans blocage, stable après réglage.
Tenir compte des facteurs pratiques
Planification budgétaire : Évitez les chaises « pseudo-ergonomiques » bon marché ou les modèles hors de prix dotés de fonctions inutiles (par exemple, le chauffage). Les modèles de milieu de gamme (300-600) offrent un bon compromis entre qualité et prix.
Marques et service après-vente : Choisissez des marques réputées (Herman Miller, Steelcase) avec des garanties de plus de 2 ans (plus de 5 ans pour les élévateurs/bases) et des retours gratuits (30 jours).
Avis clients : Consultez les avis authentiques (Amazon, Wirecutter) d’utilisateurs ayant des besoins similaires (par exemple, les commentaires de personnes de grande taille sur la coupe). Visez une note de 4 étoiles ou plus.
Comment bien s'asseoir sur une chaise ergonomique
Une bonne chaise nécessite une utilisation correcte ; suivez ces étapes pour maximiser ses bienfaits sur la santé.
Préparation avant de s'asseoir : Ajustez d'abord
- Réglage de la hauteur du siège : pieds à plat sur le sol, genoux à 90° (cuisses parallèles au sol). Utilisez un repose-pieds si vos pieds ne touchent pas le sol.
- Réglage du soutien lombaire : alignez-le à la hauteur du nombril, ajustez la profondeur pour un maintien optimal (sans espace ni pression) et la fermeté selon vos préférences.
- Réglage des accoudoirs : coudes à 90°, avant-bras parallèles au sol, épaules détendues – pas besoin de s’étirer pour atteindre les accoudoirs.
Détails sur la posture assise correcte
- Posture de la colonne vertébrale : dos plaqué contre le dossier, poitrine légèrement relevée, pas de dos voûté ni penché en avant. Ajustez la position de l’écran plutôt que de vous pencher.
- Posture de la tête et du cou : Tête droite, menton rentré, haut de l'écran à hauteur des yeux — pas d'inclinaison vers le haut ou vers le bas (évite les tensions cervicales).
- Posture des bras et des mains : Mains sur le clavier/la souris, coudes près du corps, doigts détendus – sans tension ni relâchement.
- Posture des jambes et des pieds : Cuisses parallèles au sol, pieds à plat (pas de jambes croisées/pendues) — croiser les jambes coupe la circulation.
Maintenez une bonne posture lors de longues périodes en position assise.
- Micromouvements réguliers : Toutes les 30 à 60 minutes, inclinez-vous en arrière à 110°, étirez les bras/le cou ou bougez les pieds – cela détend les muscles.
- Pauses debout : Toutes les 2 heures, levez-vous/marchez pendant 5 à 10 minutes, étirez-vous ou utilisez un bureau debout – cela réduit le risque de troubles musculo-squelettiques de 25 %.
- Évitez la surutilisation : Gardez les muscles du tronc légèrement contractés (ne vous enfoncez pas dans la chaise), bougez les bras de temps en temps – vos muscles resteront forts.
FAQ
Q : Une chaise ergonomique plus chère est-elle meilleure ?
R : Non. Le prix dépend de la marque et des fonctionnalités, mais les options inutiles (par exemple, les réglages de mémoire) augmentent le coût. Les modèles de milieu de gamme (300-600) avec réglages de base (hauteur, soutien lombaire, accoudoirs) conviennent à la plupart des utilisateurs.
Q : Les chaises ergonomiques sont-elles adaptées au jeu vidéo ?
R : Oui, choisissez des modèles avec une inclinaison à 135°, des appuie-tête 3D et des coussins lombaires. Évitez les chaises exclusivement destinées aux joueurs qui privilégient l'esthétique à l'ergonomie.
Q : Comment repérer les chaises « pseudo-ergonomiques » ?
A : Vérifiez la présence d'un dossier incurvé en S, d'un réglage lombaire à 3 positions et des certifications BIFMA/EN 1335. Les contrefaçons se contentent d'ajouter des coussins lombaires sans proposer de réglages.


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